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Le sujet de réflexion actuel, a été déclenché par une phrase d’une chanson de Grand corps malade « Funambule » et un message ami, d’hier.

« Je suis un funambule à béquilles » Je partagerai donc ma pensée ce soir, avec vous… Nous sommes tous des funambules, pour garder l’équilibre, le balancier ou les béquilles, selon, sont indispensables.

Le challenge n’est pas de pouvoir s’en passer, mais de les utiliser avant de perdre l’équilibre… La prévention est nécessaire pour éviter de trébucher ou de s’écraser sur le sol. Les béquilles telles, que fonder une famille, le travail, les passions, etc. restent insuffisants. On s’attache à des êtres ou des choses impermanentes, leur disparition provoque un faux pas, une fracture, la mort des rêves…

Un balancier permet de garder l’équilibre sur le fil de notre vie. Ce balancier, s’appelle : « je profite de l’ici et de maintenant » Les personnes anxieuses ont de la difficulté à penser et à rester dans le présent. Elles s’attachent au passé, qui n’est plus (et ne reviendra pas) elles se projettent dans le futur (qui reste imprévisible).

Ainsi, elles oublient de profiter du temps présent, laissent passer de si belles choses. La prise de conscience est salutaire, elle passe par des outils qui rappellent, journellement comment se concentrer sur l’instant présent. Notre culture et notre éducation ne nous ont pas inculqués, cette philosophie, Jbien au contraire. Dans la vie actuelle, nous sommes projetés en permanence dans le futur. Le passé, se rappelle souvent à nous mélancoliquement. Change sa façon de penser est la chose difficile, chasser le naturel l’éducatif, le culturel) il resurgit toujours, pour provoquer la chute, la rechute.

En conclusion, comme un patient atteint d’une maladie chronique, je dois repousser des automatismes, vieux de 56, bientôt 57 ans Je viens de découvrir que nous sommes formatés, dès l’état de fœtus… Je rajoute donc 9 mois. Je m’entraine à être et à rester présente quelle que soit la situation, par la méditation. J‘utilise, par moi-même des états modifiés de conscience, dans un but précis de développement personnel. Je modifie mes programmations négatives et de donne des nouvelles perspectives à ma vie, en pratiquant l’auto hypnose. Je modifie ou neutralise une émotion gênante, en mixant mes émotions. Les exercices me prennent une petite demi-heure chaque jour. Une demi-heure journalière, pour changer le sens de ma vie, c’est pas grand, c’est aussi un joli cadeau que je m’offre chaque jour. Si je ne le fait pas, qui le fera.

Je n’attends plus rien de l’autre, je fais confiance à cette étincelle… Je sais qu’un jour, chaque petit bonheur ajoutés les uns aux autres, s’appelleront BONHEUR. J’ai encore quelques arrangements à mettre en place avec Françoise… Nous avions occulté ma vie fœtale, elle fut dévoilée par la mémoire de mon corps… Le challenge est lancé, « J’ai décidé d’etre heureuse, parce-que c’est bon pour la santé » Voltaire N’est-ce pas évident, pour une infirmière attentive à la santé de ses patients ? Vous voyez, moral d’acier, induit, aussi par votre précieuse écoute…

Le futur ne me préoccupe pas plus que ça… Il faut juste faire confiance à la magie... Le futur sera ce qu’il doit être, alors pourquoi s’inquiéter… Les sourires dominicaux sont sereins et emplis de mes pensées d’ici et maintenant… Amusez-vous bien (Françoise m’a offert cette phrase qui me convient parfaitement, la vie est trop courte pour ne pas en profiter pleinement)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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